mercredi 30 décembre 2009
t'as vu la vierge?
vacances de noyel à Laroquebrou
occasion pour rouler avec le cousin, qu'est ce que c'était chouette!
ça fait du bien de rouler dans cette vieille citée médiévale, et de faire les animations des fètes à Aurillac le lendemain
en même temps transitions, études incertaines et besoin d'hérissons...
dimanche 6 décembre 2009
vendredi 4 décembre 2009
Je travaille dur mais je me soigne.
mardi 24 novembre 2009
il est 4h48
dimanche 25 octobre 2009
dimanche 18 octobre 2009
lundi 12 octobre 2009
COMME DES FOUUUUUUS !
l'antoine!!!
au départ franky il nous donne des joulies brosses à dent, car il est soucieux de notre hygiène, alors benouz il est heureux, Dji se demande à quoi ça peut bien servir, et moi je me marre (t'ain je voulais pas mettre de photo de moi...)
petite chauffe avant le flat, c'est Romain qui doit regretter de nous avoir refilé des tish histoire de représenter, tellement ce battle était n'importe quoi (Bruno et Dji contre Benouz et Wam, le battle du siècle)
au départ franky il nous donne des joulies brosses à dent, car il est soucieux de notre hygiène, alors benouz il est heureux, Dji se demande à quoi ça peut bien servir, et moi je me marre (t'ain je voulais pas mettre de photo de moi...)
petite chauffe avant le flat, c'est Romain qui doit regretter de nous avoir refilé des tish histoire de représenter, tellement ce battle était n'importe quoi (Bruno et Dji contre Benouz et Wam, le battle du siècle)
vendredi 2 octobre 2009
Bâtaaaaaaaards !
Encore un Tarantino. Godard, à la sortie de Kill Bill 1, dit de lui « Il est bon, mais il n’a fait que quatre films, et moi plus de cent ». Ici commence le paradoxe Tarantino. La sortie de Inglorious Basterds, sa sélection à Cannes, sont pour lui comme un test de maturité. Après le flop public de Death Proof, il se devait de revenir en force, de réveiller le public acquis par Pulp Fiction et Kill Bill. Et l’enjeu est de taille. Pour ça il déballe l’artillerie lourde : Brad Pitt, Hitler et une odeur de sang…
Inglorious pourrait être amputé de 2h20. La première partie constitue un court métrage à elle seule. 20 minutes de suspens, d’efficacité, de cinéma. Une ouverture western accompagnée d’un dialogue tarantinesque franco/anglais. La définition du suspens par Hitchcock « montrer qu’il y a une bombe sous la table et que seul le spectateur le sache » se vérifie dans cette séquence. Un officier Nazi visite une ferme, et discute avec le propriétaire. Alors que des juifs sont cachés sous le plancher. La volonté du fermier serra-t-elle assez dure pour ne pas craquer sous la pression du SS ? Tarantino s’en amuse et nous fait souffrir.
Mais comment a-t-il pu chausser ses plus grosses Rangers pour nous servir la suite ??
Avec la délicatesse d’un Panzer, il nous livre enfin son film de guerre. Après un Polar, la Blaxpotation, la série B, le ciné américain indie des 70’s,… voila son Full Metal Jacket. Il est toujours incapable de réaliser son propre film. La construction de son œuvre est établie par son énorme cinéphilie, mais les ficelles commencent à s’effilocher. On retrouve quelques systèmes géniaux comme le « braquage à la mexicaine », situation de duel où il n’y a pas d’issue, le spectateur est très mal à l’aise, le film est coincé. La tension fini par exploser et la machine repart de plus belle. Tarantino adore ce procédé et en abuse, il rythme son film de climax en climax. Malmener le public, le choquer, et ne rien laisser, oser. On l’a connu plus précis, plus chirurgical, plus rigoureux. Le second dialogue en français est atroce. Marcel et Shoshanna décident de « détruire par le feu » (répété 4 fois) leur cinéma, avec des répliques plates, mal dirigées, comme si on avait traduit l’anglais littéralement. On était habitué à plus de virtuosité d’écriture. Mais il n’en a rien à faire et bouscule tout ça grâce à Christopher Waltz, qui manie quatre langues avec brio et humour cinglant. Un prix d’interprétation masculine pas volé, mais peut-être légèrement surjoué.
Tarantino s’amuse de son pouvoir. On s’attend à des séquences de violence acide, de pillages et de « I’ll kill you mother f***** !! ». Cependant on ne voit pas les bâtards en action mais plutôt en préparation ou en victoire. Il oublie la violence esthétique pour s’attarder sur la brutalité des gestes et la conséquence de certains actes. Et il y va à fond. On oublie la retenue classe de Reservoir Dogs et les éclats physiques qui prennent aux tripes. Le final est une image forte, sans pitié, point de non retour, vision de l’annihilation d’une époque pourrie et haïe.
Inglorious pourrait être amputé de 2h20. La première partie constitue un court métrage à elle seule. 20 minutes de suspens, d’efficacité, de cinéma. Une ouverture western accompagnée d’un dialogue tarantinesque franco/anglais. La définition du suspens par Hitchcock « montrer qu’il y a une bombe sous la table et que seul le spectateur le sache » se vérifie dans cette séquence. Un officier Nazi visite une ferme, et discute avec le propriétaire. Alors que des juifs sont cachés sous le plancher. La volonté du fermier serra-t-elle assez dure pour ne pas craquer sous la pression du SS ? Tarantino s’en amuse et nous fait souffrir.
Mais comment a-t-il pu chausser ses plus grosses Rangers pour nous servir la suite ??
Avec la délicatesse d’un Panzer, il nous livre enfin son film de guerre. Après un Polar, la Blaxpotation, la série B, le ciné américain indie des 70’s,… voila son Full Metal Jacket. Il est toujours incapable de réaliser son propre film. La construction de son œuvre est établie par son énorme cinéphilie, mais les ficelles commencent à s’effilocher. On retrouve quelques systèmes géniaux comme le « braquage à la mexicaine », situation de duel où il n’y a pas d’issue, le spectateur est très mal à l’aise, le film est coincé. La tension fini par exploser et la machine repart de plus belle. Tarantino adore ce procédé et en abuse, il rythme son film de climax en climax. Malmener le public, le choquer, et ne rien laisser, oser. On l’a connu plus précis, plus chirurgical, plus rigoureux. Le second dialogue en français est atroce. Marcel et Shoshanna décident de « détruire par le feu » (répété 4 fois) leur cinéma, avec des répliques plates, mal dirigées, comme si on avait traduit l’anglais littéralement. On était habitué à plus de virtuosité d’écriture. Mais il n’en a rien à faire et bouscule tout ça grâce à Christopher Waltz, qui manie quatre langues avec brio et humour cinglant. Un prix d’interprétation masculine pas volé, mais peut-être légèrement surjoué.
Tarantino s’amuse de son pouvoir. On s’attend à des séquences de violence acide, de pillages et de « I’ll kill you mother f***** !! ». Cependant on ne voit pas les bâtards en action mais plutôt en préparation ou en victoire. Il oublie la violence esthétique pour s’attarder sur la brutalité des gestes et la conséquence de certains actes. Et il y va à fond. On oublie la retenue classe de Reservoir Dogs et les éclats physiques qui prennent aux tripes. Le final est une image forte, sans pitié, point de non retour, vision de l’annihilation d’une époque pourrie et haïe.
lundi 28 septembre 2009
jeudi 24 septembre 2009
Désir, trahir, maudire, rougir, Désir, souffrir, mourir, pourquoi ?
voilà
installé et fixé
cours de cinoche, recherche et réa
zik à fond
25 km aller retour+ montée de la croix rousse
sors nous!!!!
avant le rangement pour la crème à Hyères
studio ma foi sympa et bien placé, touuuuuuut en haut de la croix rousse, près de l'hopital et du terrain de POOOOOLO
mise à jour de l'écurie tout en couleur Kris Holm (dieu quoi) :
merci le Gaston pour ce joli cadre
tout en bleu et blanc
ça fait un peu patrouille de France mais
mhhhhh
installé et fixé
cours de cinoche, recherche et réa
zik à fond
25 km aller retour+ montée de la croix rousse
sors nous!!!!
avant le rangement pour la crème à Hyères
studio ma foi sympa et bien placé, touuuuuuut en haut de la croix rousse, près de l'hopital et du terrain de POOOOOLO
mise à jour de l'écurie tout en couleur Kris Holm (dieu quoi) :
merci le Gaston pour ce joli cadre
tout en bleu et blanc
ça fait un peu patrouille de France mais
mhhhhh
dimanche 30 août 2009
la merde les oiseaux sauvages !
Je suis à Lyon city
je découvre cette belle ville aux loyers exorbitants
je cherche un appart, et c'est bien dur
je roule un peu pour décompresser, sur du gros spot !
j'ai du mal à faire la part des chose et à me dire que cette vie va tout changer
allez, fin des "vacances"
prochain article en septembre avec photos de l'appart à l'appui
bon, jvé rouler à hotel de ville ....
je découvre cette belle ville aux loyers exorbitants
je cherche un appart, et c'est bien dur
je roule un peu pour décompresser, sur du gros spot !
j'ai du mal à faire la part des chose et à me dire que cette vie va tout changer
allez, fin des "vacances"
prochain article en septembre avec photos de l'appart à l'appui
bon, jvé rouler à hotel de ville ....
lundi 17 août 2009
libéré dedans
retour du festoche
bénévole régisseur et accueil des groupes
j'ai passé quatre jours à porter des caisses, répondre aux attentes des groupes, manger avec eux, et faire la fêêêête
quatre jours au bord d'un étang, avec des gens de partout, de toutes origines sociales et culturelles, du son exquis balancé par des groupes contents d'être là et de faire vivre le plus gros festival de Creuse...(héhé)
merci aux Ogres, aux musiciens, aux teckos et aux collègues
et tournée de fondu-frites pour tout le monde
bénévole régisseur et accueil des groupes
j'ai passé quatre jours à porter des caisses, répondre aux attentes des groupes, manger avec eux, et faire la fêêêête
quatre jours au bord d'un étang, avec des gens de partout, de toutes origines sociales et culturelles, du son exquis balancé par des groupes contents d'être là et de faire vivre le plus gros festival de Creuse...(héhé)
merci aux Ogres, aux musiciens, aux teckos et aux collègues
et tournée de fondu-frites pour tout le monde
mercredi 12 août 2009
un putain de bordel
d'abord ça commence comme ça
on a pas le droit de m'extirper de mes habitudes
bordel
tout le monde le sait
enfin j'avais construit mon cocon, Clermont
amis, études, travail, loisirs
du papier à musique quoi
maintenant on bazarde tout, pis on recommence
mais où est-ce que je vais? on verra bien
un mois de juillet de colon, 24/24 de maltraitance et autre torturage de mômes, d'accord je veux bien je connais
mais là le mois d'août c'était interdit
EUC
Souvigny (gasp)
Répétitions
un rythme de dingue je vous dis, 5h de sommeil par nuit, en moyenne, à vous rendre barge
puis la rando
le lioran/ stjacques des blats en passant par le griou, allez-retour, avec 15kg sur le dos, la Maelle, et le paulin
m'enfin c'était puissant, cloches de vaches, verts paturages et rochers rugueux
et aujourd'hui, préparation pour trois jours de festoche en creuse
j'arrète pas
l'usine
lets'go
un jour j'avais dit que je le ferai
je le fais ma vie change, évolue, alors bon, autant s'exprimer
voilà la vie palpitante de monsieur K, mauricette, paulin, fernand et gladys leurs péripéties, leurs humeurs et leurs envies
let's go
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